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Combat pour sauver les animaux du monde entier

21 mars 2007

Youpie

Dernière nouvelle, j'ai été admise a la fomartion d'auxiliaire de santé animale que je vouler faire!!! Après un long entretien avec la secrétaire pour voir mes motivations, l'école, le cout de la formation et tous puis a la fin elle ma dit " je ne vais pas vous faire attendre plus longtemps vous êtes admise" ouffffff quel soulagement loll maintenant j'ai plus qu'a bosser!!!!

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18 mars 2007

Pour se détendre aprés tout ca

Pour rigoler un peu aprés toute ces horreur que font les humains C LA http://www.lapatate.fr/

LES PAROLES :


De nos jours la vie est dure
Quand on est une petite patate
Qu'on soit mûre ou pas mûre
Il faut bien se tenir sur ses pattes

Alors mon petit gars
Si t'es une petite patate comme moi
Écoute bien ces paroles
Si tu ne veux pas finir à la casserole

Moi je me débrouille comme je peux
Le tout c'est d'éviter la chaussée
Parce qu'une voiture a des pneus
Évitons donc de se faire écraser

Alors mon petit gars
Si t'es une petite patate comme moi
J'te conseille de courir vite
Si tu ne veux pas finir taillé en frite

Gna Gna Gna Gna Gna Gna Gna
Gna Gna Gna Gna Gna Gna Gna Gna Gna
Gna Gna Gna Gna Gna Gna Gna
Gna Gna Gna Gna Gna Gna Gna Gna Gna

Alors mon petit gars
Si t'es une petite patate comme nous
Ces paroles écoute les bien
Si tu ne veux pas finir dans un gratin



Auteur, compositeur et interprète de la chanson La Patate :
Le groupe Duodébi 

18 mars 2007

Kangourou

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Imaginez … La nuit, dans les vastes terres intérieures sauvages d’Australie, une maman kangourou fait la toilette à son petit. Soudain, elle entend le bruit d’un quatre-quatre et reste transie de peur.



Des phares l’éblouissent. Un homme met en joue, pour lui tirer une balle dans la tête - mais c’est le cou qui est touché. Elle s’affaisse de douleur, incapable de sauver son petit qui vient se réfugier dans sa poche. Mais il ne pourra pas fuir. Le chasseur le tire hors du corps ensanglanté de sa mère, le jette sur le sol et lui écrase la tête de son pied. Le petit est laissé là, à l’agonie. (Les petits plus âgés qui s’enfuient en sautant frénétiquement quand leur mère est abattue, n’ont aucune chance de survivre. Ils sont condamnés à une mort lente et solitaire, due à la faim ou au froid).



La mère ne meurt pas sur le coup. Elle se débat pendant que le chasseur lui entaille la cuisse, y insère un crochet et la suspend tête en bas dans un camion. Elle est alors éventrée, vidée, sa tête, sa queue, et ses pattes sont jetées sur le côté. Belle manière de traiter l’emblème national australien.

C PAR LA :http://terresacree.org/kangourous.htm

18 mars 2007

air souffrance

18 mars 2007

triste réalité

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Un chien vous parle avec son coeur, .

Comment est-ce possible ?.

Quand j'étais un chiot, je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire.

Vous m'avez appelé votre enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers
assassinés, je suis devenu votre meilleur ami.

Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais " Comment peux-tu?"
mais après on s'amusait ensemble.

Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que vous étiez terriblement occupés,
mais nous y avons travaillé ensemble.

Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets,
et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.

Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que " la glace est mauvaise pour les chiens," comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison.

Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et tu t'es concentré sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain.

Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirement de coeur et déceptions, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombé amoureux.

Elle, maintenant ta femme, n'est pas une « personne-chien » mais je l'ai accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi.

J'étais heureux parce que tu étais heureux.

Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation.

J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi.

Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce, ou dans une niche.

Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour".

Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami.

Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez.

J'aimais tout d'eux et leurs caresses parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était.

J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.


Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qu'ils te demandaient une photo de moi tu en avais une à leur montrer dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos.

Ces dernières années tu répondais "juste oui " et changeais de sujet.

Je suis passé du statut de " ton chien " à " seulement un chien, " et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.

Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers.

Tu as fait le bon choix pour ta " famille ", mais il y eut un temps où j'étais ta seule la famille.

J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux.

Cela sentait les chiens et chats,la peur, le désespoir.

Tu as rempli la paperasserie et tu as dit " je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui ".

Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé.

Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec " des papiers ".

Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il criait " Non, Papa! S'il vous plaît
ne les laissez pas prendre mon chien !"

Et je me suis inquiété pour lui, quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant, au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie.

Tu m'as donné un « au revoir-caresse » sur la tête, tu as évité mes yeux, et tu as refusé de prendre mon collier avec vous.

Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et rien fait pour me trouver une autre bonne maison.

Elles ont secoué leurs têtes et ont dit " Comment est-ce possible?"

Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés ne le leur permet.

Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours.

Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi,
que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve, ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver.

Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu.

J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et je piétinais le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée.

Une pièce heureusement tranquille.

Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m 'inquiéter.

Mon cour battait d'anticipation à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement.

Le « prisonnier de l'amour » avait survécu à travers les jours.

Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété d'elle.

Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connais votre humeur chaque jour.

Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue.

J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années.

Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine.

Quand j'ai senti le dard et les liquides se répandre à travers mon corps, je me suis assoupi, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré :

" Comment as-tu pu? "

Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit " je suis si désolée".

Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'aille à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différente de cet endroit.

Et avec mes dernières énergies, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon " Comment as-tu pu? " n'était pas dirigé contre elle.

C'était à toi, mon maître bien-aimé, que je pensais.

Je penserai à toi et t'attendrai à jamais.

Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté.


Texte © copyright Jim Willis 2001, tous droits réservés



Note de l'auteur:


Si " Comment est-ce possible? " a mis des larmes dans vos yeux en le lisant comme cela me l'a fait alors que je l'écrivais, c'est parce que c'est l'histoire de millions d'animaux familiers qui meurent chaque année dans des chenils américains et canadiens.
Tout le monde est bienvenu à distribuer cet essai dans un but non-commercial, aussi longtemps qu'il est distribué correctement avec l'avis du copyright.
S'il vous plaît utilisez-le pour aider à l'éducation, sur vos websites, dans des bulletins d'informations, dans les refuges pour animaux et tableaux d'affichage du bureau du vétérinaire.
Dites au public que la décision d'ajouter un animal familier à la famille est une importante décision pour la vie, que les animaux méritent notre amour et soins, et que la recherche d'une autre maison appropriée pour votre animal est votre responsabilité et que toute vie est précieuse.
S'il vous plaît faites votre part pour arrêter le meurtre d'animaux, et encouragez les campagnes pour prévenir que des animaux soient non désirés.


Jim Willis

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18 mars 2007

La fourrure

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Aller jeter un coup d'oeil et vous serait tellement dégouter que jamais plus vous ne verrait la fourrure du meme oeil!!! Moi ej dit honte a ceux qui porte de la fourrure !!! http://www.strasbourgcurieux.com/fourrure/

18 mars 2007

Vivisection

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Aller voir ca vaut le coup et le proverbe veut tout dire !!!! c'est dégeullase tous c connards qui font souffrir des animaux innocent!!!! C par la http://www.artezia.net/animaux/vivisection/vivisection.htm

18 mars 2007

Les fêtes stupides des stupides espagnols!!!!

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Chaque année, il y a plus de deux mille fiestas en Espagne, au cours desquelles hommes, femmes et enfants s'amusent à battre, torturer, mutiler et tuer des Animaux. Voici quelques exemples:

JANVIER :

Manganèses Polvorosa (Castilla/Leon) : Une Chèvre vivante est jetée du haut du clocher de l'église.

FÉVRIER :

Villanueva de la Vera (Extramadura) : Monté par le villageois le plus gros et le plus lourd, l'Ane traverse la ville en titubant sous les coups assenés par la foule hystérique, jusqu'à ce qu'il tombe. On lui allume alors des pétards dans les oreilles et on le matraque violemment.

Robledo de Chavella (Madrid) : Des Écureuils, des Pigeons, des Chiots et des Chatons enfermés dans des pots d'argile sont suspendus à des poteaux. Les jeunes gens lancent contre eux de grosses pierres pour briser et blesser ou tuer les Animaux avant qu'ils ne s'écrasent sur le sol.

MARS :

Salas de los Infantes (Castilla/Leon) : Poulets et Dindons sont tués à coups de bâtons par des jeunes aux yeux bandés, au milieu des hurlements de la foule surexcitée.

AVRIL :

Tordesillas (Castilla/Leon) : Persécution d'un Taureau par une centaine d'hommes à Cheval qui le lardent de coups de lance. Un prix (Lanza de Oro) est remis par le maire de la ville à celui qui, sitôt le Taureau à terre, lui coupe à vif les testicules.

MAI :

Benavente (Zamora) : Plusieurs Taureaux sont lentement étranglés au milieu des huées par une corde attachée à leur cou et tirée par 300 hommes.

JUIN :

Coria (Caceres) : La foule poursuit des Taureaux à travers les rues en leur lançant des fléchettes et en visant les yeux. Lorsque les Animaux s'effondrent, blessés, lacérés aveuglés, ils sont châtrés, mutilés et poignardés à mort. Les participants s'enduisent du sang des Taureaux dont ils exhibent les testicules à travers la ville.

JUILLET :

Pozuelo (Avila) : A minuit, de jeunes Espagnols chassent des Taureaux à travers les rues de la ville. Lorsqu'ils atteignent l'arène, ils les battent jusqu'à l'épuisement total.

Dénia (Alicante) : Des jeunes, munis de bâtons, dirigent les Taureaux vers les plages où ils les martyrisent et les battent.

Carpio del Tajo (Castilla-La Mancha) : Des cavaliers s'efforcent d'arracher au passage, la tête des Oies vivantes attachées à une corde tendue à travers la place du marché.

AOÛT :

Torrelavaga (Cantabria) : Un Porc enduit de graisse est poursuivi à travers les rues de la ville par une foule qui se jette sur lui. L'Animal finit par mourir, écrasé sous le poids des poursuivants. San Sébastian de la Reyes (Madrid) : Des nains torturent et mutilent des Taurillons pendant des heures pour «divertir les enfants» : Lorsque les Animaux lardés de coups de poignards tombent et agonisent, les nains dansent sur leurs flancs pour le plus grand plaisir des bambins.

SEPTEMBRE :

Ciruelas, Cifuentes (Madrid) : De jeunes Vaches sont poursuivies en tracteurs jusqu'à l'écrasement délibéré.

Peincîa (Vizcaya) : Des Canards sont jetés à la mer et poursuivis par des nageurs (qui les démembrent vivants). Ces nageurs sont la plupart du temps des enfants.

Lequeito (Vizcaya) : Des Oies sont suspendues par une patte à une corde tendue entre les mâts de deux bateaux.Des barques naviguent entre ces derniers et leurs passagers s'amusent à arracher la tête des Oies vivantes.

Puebla de Fanais (Valencia) : «El Toro del Puego» Les cornes des Taureaux sont enduites de goudron et enveloppées de linges imbibés de pétrole puis enflammées. Tous les habitants les frappent au passage et leur lancent des briques et des bouteilles du haut des balcons. Ils meurent lentement, dans d'atroces souffrances.

Algete (Madrid) : À la fin des corridas d'amateurs, on coupe à vif les testicules des Taureaux épuisés tombés à terre, mais encore bien vivants.

Candas (Asturias) : Les Taureaux sont martyrisés sur les plages. S'ils ne se noient pas, ils sont achevés à coups de couteaux.

Budias (Giiadalajara) : La foule charcute les Taureaux à coups de lance ou les bat à l'aide de poteaux. LesAnimaux, dont les pattes sont cassées, doivent souvent être abattus.

OCTOBRE :

Fuenlabrade (Madrid) : Quatre Animaux sont tués chaque jour, aussi bien des Taureaux que des Vaches. Poignardés, lacérés par la foule tout au long de la journée sous un soleil brûlant, des tiges acérées enfoncées dans tous leurs orifices, les Animaux se vident lentement de leur sang.

NOVEMBRE :

Igea (La Rioja) : On brise les membres à de jeunes Veaux puis on les jette dans le vide, du haut d'une plate-forme.

Salas de los Infantes (Burgos) : De jeunes Coqs sont pendus par les pattes et battus à mort. Cette activité a encore lieu bien qu'elle soit interdite par les autorités. La dernière fois qu'elle fut organisée, la ville fut frappée d'une amende.

DÉCEMBRE :

. Notilla del Palancar (Cuenca) : Au cours d'un des spectacles de cette fête, des Poules sont lapidées à mort.

ET SUR TOUT LE TERRITOIRE DE L'ESPAGNE LES CORRIDAS

18 mars 2007

Steak

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Clike ici et tu sauras tous sur la fabrication du steak qui est vraiment ignoble  http://www.petatv.com/tvpopup/video.asp?video=agri_short&Player=wm&speed=_med

18 mars 2007

Hostile

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Une jument de trait ardennaise nous est signalée en très mauvais état, parquée dans une cour de maison. Dès le lendemain, notre agent se rend sur place et découvre les bien tristes conditions de vie d'HOSTILE D'IF.Mi mai, elle a toujours son poil d'hiver qui ne parvient pas à dissimuler son extrême maigreur. Elle est enfermée dans 80 m2 de purin.
Bien entendu, ses propriétaires s'insurgent contre notre intervention, criant haut et fort, aimer et choyer "leur bébé". Un degré d'amour ne valant que trois mille francs, prix pour lequel ils sont prêts à s'en séparer.
Après une heure de discussion animée, agrémentée de menaces du fiston, d'une simulation d'infarctus de madame, ils finissent par accepter de nous remettre la jument pour éviter l'intervention des Services de Gendarmerie et d'un vétérinaire.
L'après-midi même, HOSTILE est rapatriée au siège de l'association. Dès le lendemain, l'intervention d'urgence du vétérinaire est nécessaire. Celle-ci se trouve dans un état de faiblesse alarmant, elle ne boit pas, ne mange pas et reste couchée quasiment en permanence. HOSTILE est épuisée, gravement anémiée, infestée de poux, et en colique. Le diagnostic du vétérinaire est réservé, lequel se donne quatre jours pour se prononcer. Il estime la perte de poids à 150 kilos.
HOSTILE souffre beaucoup et ne se bat pas. Son état s'aggrave, nous nous relayerons sans cesse les trois jours suivants pour la relever, la faire marcher et la soulager à grands renforts d'anti-spasmodiques. Trois jours passés à chercher la moindre petite chose qui pourrait redonner l'envie de se battre à HOSTILE.
Le quatrième jour, elle nous offre enfin une lueur d'espoir, dès que nous arrivons dans son pré, elle vient à notre rencontre et accompagne nos départs d'un hénissement timide. Elle reste de plus en plus longtemps debout et recommence à boire et à manger. Un havre de paix attend HOSTILE chez Kathya qui est famille d'acueil de plusieurs de nos protégés et passionnée par les chevaux de trait. Le vétérinaire nous donne enfin son accord pour le transport.
Kathya prend donc le relais le cinquième jour. Des examens sanguins sont pratiqués. Ils révèlent que la jument est à la limite de la transfusion et on note une atteinte musculaire, des résultats qui montrent un état de dénutrition avancée qui était sur le point de mettre en danger sa vie. Ajoutons à cela que les causes de ses douleurs intestinales nous ont été révélées par la présence en grand nombre de cailloux, de morceaux de plexiglas et de brique dans les crottins au bout d'une semaine de réalimentation.
Aujourd'hui HOSTILE est devenue HORIZON. Elle est devenue une belle jument qui n'est pas encore aussi ronde qu'elle devrait l'être, mais enfin, à sept ans, elle découvre et savoure les joies d'une vie de cheval. Elle ne cesse de trouver de nouvelles bêtises à faire comme un poulain qui découvre tout, et croyez bien que pour tous ceux qui se sont relayés pour la soigner, c'est un bonheur immense que d'avoir participé et assisté à cette renaissance.
Une plainte a été déposée.
Le 22 mai 2003, le Tribunal de Police de FONTAINEBLEAU (77), a condamné Monsieur PRIN à payer une amende de 100 ¤, ainsi qu'à versé au CHEM 1 ¤ de dommages et intérêts, 2241,87 ¤ de remboursement de frais et 200 ¤ de frais d'avocat (475 - 1), pour avoir laissé dépérir une jument de trait ardennaise, HOSTILE D'IF.
Celle-ci, en plus d'avoir manqué sévèrement de nourriture et d'eau pendant des années, était parquée dans un enclos insalubre de 80 m2 où elle était rendue à avaler ce qu'elle trouvait, entre autre, cailloux, morceaux de briques, de plexiglas... retrouvés dans ses crottins.
Le Tribunal a officiellement remis HOSTILE au CHEM.

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